Le projet « Soigner les corps, nourrir les esprits » porté par l’Association pour le développement universitaire en Ariège (ADUA) du Centre universitaire de Foix et de l’Ariège – Robert Naudi vise à renforcer la cohésion et et favoriser le lien social entre étudiant·es.
Porteur : Association pour le Développement Universitaire en Ariège (ADUA) du Centre Universitaire de Foix et de l’Ariège – Robert Naudi.
Partenaires inter-universitaire : Association étudiante L’Œuf, Point Accueil et Écoute Jeunes (PAEJ) BIJ, Pôle Agglomération Adolescence Jeunesse Information Prévention (PAAJIP), Territoires éducatifs, Faire Face, Yogasana.
Public cible : 990 – 1100 étudiants.
Objectifs :
- Renforcer la cohésion entre étudiants du Centre universitaire de l’Ariège.
- Lutter contre les freins à la sociabilisation et le stress.
Descriptif :
- Cours hebdomadaires et gratuits de yoga (gestion de stress) et de boxe (auto-défense féminine) animés alternativement par le PAEJ, l’association Faire Face et Yogasana + organisation d’une semaine bien-être en janvier et avril 2023.
- 3 cinés-débats abordant les thématiques de la santé mentale, du genre, de la sexualité, de l’interculturalité, des discriminations.
Indicateurs chiffrés :
- 10-15 étudiants présents par cours.
- 4 étudiants présents aux cinés-débats.
Dates de réalisation :
Soigner les corps – Octobre 2022 – Avril 2023 (cours organisés toutes les semaines)
Nourrir les esprits – Octobre 2022, Novembre 2022 et Janvier 2023
Les actions réalisées
Soigner les corps
Les cours de yoga et de boxe affichent complet ; la satisfaction des étudiants sur ces nouveaux cours est grande. Les semaines bien-être ont relativement bien fonctionné, avec un nombre de participants plus important en avril.
Nourrir les esprits
Les ciné-débats ont été organisés par IJ09, le point accueil et écoute jeunes (PAEJ), les territoires éducatifs, le Pôle agglomération adolescence jeunesse information prévention (PAAJIP), qui avaient en charge l’animation des débats. Est noté une faible participation des étudiants lors des ciné-débats en raison d’une communication trop tardive ou des sujets peu fédérateurs.