Le schéma 2021-2026

Toulouse vient d’être une nouvelle fois classée en tête des villes étudiantes. Parce que réussir ses études c’est également réussir sa vie d’étudiant, le Crous de Toulouse-Occitanie et l’Université de Toulouse, en charge de la coordination du Schéma d’Amélioration de la Vie Étudiante (SAVE), partagent la responsabilité de l’amélioration continue de la vie étudiante dans l’ensemble des villes universitaires de l’académie de Toulouse.

Sur la base du précédent schéma d’amélioration de la vie étudiante 2016 – 2020, complété par une grande enquête auprès de toute la communauté étudiante de nos établissements début 2020 – dont vous trouverez les précisions et chiffres à la page « Vie étudiante : Enquête et Diagnostic« – une phase de diagnostics thématiques et territoriaux a été initiée.
À partir de ces éléments, la rédaction du projet d’amélioration de la vie étudiante 2021-2026 a été menée avec l’ensemble des établissements et partenaires impliqués durant l’automne-hiver 2020-2021, dans des conditions rendues complexes par la pandémie. Il faut donc saluer la forte mobilisation des équipes universitaires, des partenaires institutionnels – collectivités, bailleurs sociaux, agence régionale de la santé notamment – et des associations et représentants étudiants dans le cadre de plus de cinquante réunions thématiques, à Toulouse et dans les villes universitaires d’équilibre.

Une fois finalisé, le texte a été présenté et validé dans les conseils des différents établissements avant une approbation finale par les conseils d’administration du Crous et de l’Université de Toulouse en mars-avril 2021.
Le SAVE sera annexé au contrat quinquennal de l’Université de Toulouse prochainement signé avec, le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

Sur le fond, tout d’abord, il faut souligner l’intégration aux côtés des activités habituelles de la vie étudiante (logement, transports et mobilités, santé, social, sport, culture…) de deux nouvelles thématiques dont l’enquête étudiante montrait l’importance : la question de la lutte contre les discriminations et l’éco-responsabilité. Il faut également signaler la volonté de s’emparer de la question de l’égalité femmes-hommes de manière transversale pour mieux répondre à cet enjeu majeur. La prise en considération systématique des publics spécifiques (étudiants internationaux hors convention, doctorants non financés, alternants, étudiants en situation de handicap…) témoigne quant à elle de la forte volonté d’ouverture et d’inclusivité de nos établissements. Enfin, la dimension territoriale demeure essentielle, avec une attention particulière portée aux villes universitaires d’équilibre, qui incarnent « l’excellence distribuée » désormais promue au niveau européen.